Mais avant, je vous emmène dans une ville au nord de l'Afrique.
Invités par l'association Agissons Vert pour participer à un congrès sur le développement durable, nous nous envolons de Paris pour Casablanca.
A ce moment là, le nuage situé au-dessus du Nord de l'Europe ne nous inquiète pas du tout.
Nous sommes logés comme des rois à l'hôtel Hyatt proche de l'ancienne médina.
Le soir ne sachant pas où aller pour dîner, nous demandons au portier l'adresse d'un restaurant pour déguster un couscous ou tajine.
Il nous conseille, non loin de là, le restaurant Imilchil. C'est dans une rue sombre que nous apercevons grâce à son éclairage la petite entrée décorée . Nous franchissons la porte. En un clin d’œil, nous découvrons l’intérieur du restaurant. Sa surface est petite mais une salle en mezzanine surplombe celle du rez-de chaussée.
Nous sommes placés à une table dans un coin du restaurant. Nous tournons la tête plusieurs fois à droite, à gauche pour regarder la décoration marocaine. De la faïence bleue et blanche sur les murs jusqu'à mi hauteur. La partie la plus haute du mur et le plafond sont agrémentés de motifs sculptés comme de la dentelle. C'est impressionnant le talent et la minutie du travail pour arriver à ce résultat.
Des plateaux ciselés en cuivre jaune et orangé accrochés au mur .
En lisant la carte,je découvre avec surprise que le couscous peut être mangé aussi en dessert. C'est un couscous sucré.
Nous commandons ce plat traditionnel. Il est servi copieusement et accompagné du pain marocain.
C'est un régal, c'est ma première occasion de manger un plat typiquement marocain.
Nous sommes servis sur une table typiquement traditionnelle : basse.
Nous rejoignons notre hôtel avec le plaisir d'avoir passé une agréable soirée.
